Bande annonce
Le soir de Noël, Pierre et Thérèse s’apprêtent à assurer la permanence téléphonique parisienne de « SOS-détresse-amitié ». Débarquent alors des personnages marginaux farfelus qui provoquent des catastrophes en chaîne : une jeune paumée, son ami et un travesti.
L’ascenseur
L’ensemble des scènes se déroulent dans un immeuble parisien assez ancien. Elles suivent les péripéties d’un personnage bloqué dans l’ascenseur et les réactions des autres occupants face à cette situation.
La cage de l’ascenseur témoigne de la différence des normes de sécurités des années 80. L’espace de l’escalier est séparé des escaliers par un grillage incomplet, ce qui permet à l’un des résidents de grimper sur l’ascenseur. De plus, certains éléments électriques sont mal protégés, et de tout évidence défectueux.
La lumière est entièrement artificielle, mais relativement importante. Son contrôle se fait via une minuterie afin d’éviter que l’éclairage reste allumé plus que nécessaire. Un personnage ne pouvant accéder au bouton dépendra d’autre usager pour rallumer la lumière.
La scène illustre comment l’usage des équipements d’un occupant des espace de circulation affecte les autres occupants présents. Chaque occupant doit donc penser à l’impact de ses actions avant d’agir, ce qui de toute évidence n’est pas le cas dans cet extrait. Les problèmes de la vie quotidienne sont ici exagérés à un niveau extrême afin de mieux s’en moquer.